
Chapitre des Chevaliers Veilleurs
du Christ en Gloire...
Tradition séculaire de
St JEAN du Temple de Jérusalem
et des monts de Lumière,
Chevaliers membres actifs fondateurs de .:
l''Association, de type Loi 1901, de Chevalerie Templière appelée :
Le C.E.R.C.O.T. ( en construction )
(Cercle d’Etudes et de Recherches Sur la Chevalerie et les Ordres Templiers)
.
... Unir les Templiers de toutes les Voies initiatiques,
pour protéger la Chrétienté de toutes origines...
« Veiller à la Conscience – Agir en être libre –
Rassembler toutes les traditions de Chevalerie Chrétienne,
et, Servir l’Unité dans la Diversité »






À propos de l'héraldique simplifiée
L'héraldique est la science ou l'art qui étudie les blasons et les armoiries.
L'héraldique permettait d'identifier le porteur du blason et de connaître son histoire (les faits d'armes et les victoires qu'il avait remporté). L'héraldique s'est développée au Moyen Âge dans toute l'Europe.
Au départ, les blasons étaient utilisés par les chevaliers pour être reconnus, puis rapidement, son usage s'est étendu à toute la société : femmes, clercs, paysans, bourgeois, villes, régions, pays et même corporations de métiers.
Un blason est un ensemble de couleurs et de dessins peints sur un écu.
Un écu est un bouclier. Il servait aux guerriers à se protéger bien sûr, mais aussi à effrayer l'ennemi (dans l'Antiquité on dessinait des figures monstrueuses sur le bouclier) et puis à identifier le porteur, sa famille ou son clan sur les champs de bataille.
Les différentes formes d’écu.
Il existe toute sorte de formes d’écu, parce qu'il existait toute sorte de formes de bouclier !
La plus classique est l'écu ordinaire ...(voir notre page d'accueil...)
qu’on peut trouver aussi en amande :
Mais il existe nombre d'autres formes, par exemple :
L'écu ancien
L'écu des dames
L'écu des demoiselles
L’écu français moderne
L’écu italien
L'écu allemand
L'écu anglais
L’écu polonais
L’écu espagnol et portugais
L’écu suisse







NOS RECHERCHES ...





Les sommets et les hommes …
Déjà enfant, je portais mon regard d’admiration vers les crêtes et les sommets,
Cherchant vers les hauteurs, les beautés du monde, les forces des montagnes
Qui me captivaient tant, que les vies d’ici-bas me semblaient des boulets,
Que les hommes des villes me donnaient malgré eux l’idée que l’on épargne,
Celle qui nous pousse à les quitter un jour, les voir s’agitaient vainement,
Sans fin, comme des êtres sans conscience, que la Vie est précieuse,
Qu’elle porte en elle la graine de demain, le gène d’une force mystérieuse,
La Volonté de Grandir au-delà, pour servir la Foi d’être qui jamais ne ment.
Ainsi, mon intuition première ne fut pas démentie par ma vie trépidante,
Par les luttes multiples que l’incarnation terrestre a bien voulues me donner,
Fixant mon parcours dans des choix de défis, pour surmonter les pentes,
Pour chercher des chemins et découvrir ma Voie, sans jamais la nommer,
Faute de mots si justes que l’Esprit ne peut dire si elle vient de soi ou bien de lui,
Notre créateur si sublime, si haut, et pourtant si proche, que la Lumière Luit,
Autant en nous que partout, du ver jusqu’aux étoiles, de l’atome au cosmos.
Ce concept insondable nous semble inaccessible, pourtant, il nous habite,
Nous vivons en lui, Il nous appelle, c’est sûr, nous les chercheurs des cimes,
Il nous dit, d’être digne des valeurs intègres, compatissantes et sublimes,
Que nous affirmons servir, pour maintenir l’Homme au centre de son site,
Centré sur son Humanité, si souvent oublié, mais toujours appelée à Naître,
A devenir enfin, un jour, un corps harmonieux, vibrant aux cœurs des Êtres,
Qui l’ont conçu au creuset d’une Lumière si puissante que l’on ne peut la voir.
Ces soldats de l’Amour absolu nous ont voulu, un peu à leur image si haute,
Que tant de nous ont pu renoncer au terrible dessein, en cédant à la faute.
Mes Sœurs et Frères, on nous invite donc à devenir des Veilleurs, pour scruter
Sans détour les chemins des hommes, aider à leurs projets s’ils bâtissent,
Un Ample avenir, à combattre sans peine, ni haine, s’ils faillissent et trahissent
Le serment qu’ils ont pris devant leurs affligés, leurs frères d’Humanité … !
La Voie que nous voulons en conscience pleine de nos compassions
Nous place sans détour, au-delà des intérêts, attitudes et passions,
Qui gravitent sur terre, seules les Hauteurs de notre Chevalerie de Cœur
Peut tracer sur sa route des desseins de Partage, d’Amour et de Veilleur… !
Frère Chevalier Daniel



On ne peut pas parler du Moyen-âge, sans passer à côté de l'héraldique. Cette symbolique était destinée à marquer son appartenance à une famille noble, et par extension, les provinces et les villes se dotèrent du blason des familles qui les dirigeaient.
L'héraldique était, à l'origine, visible sur les écus (boucliers) des chevaliers, sur leur blason. Aujourd'hui, cet art en perdition n'est plus visible que sur des armoiries. De nos jours, la loi autorise quiconque à arborer des armoiries.
L'héraldique a son propre vocabulaire pour définir les couleurs, les motifs, les partitions et autres symboles.
Lors de votre préparation à l'initation
à la Chevalerie chrétienne, il vous sera demandé de réfléchir, en autres, à votre blason de chevalier et ainsi, vous aurez à construire le vôtre, qui sera votre identité spirituelle...

TRAVAUX GNOSTIQUES
Réflexions à mener à partir de textes de sagesse, mais aussi de travaux personnels puis approfondissements
afin d'éclairer sa propre Voie initiatique...
Exemple ...
« Les oiseaux et les mythes, volent de mémoire
en mémoire.
L'homme est une branche ou parfois
l'oiseau se pose… »
(Proverbe Soufi)
L'idée des oiseaux se confond avec celle de la légèreté, de l'essence des choses et des êtres.
Les oiseaux dont il est question incarnent la pensée opposée à la matière et, par conséquent, l'intériorité de l'homme, son « moi »
le plus profond.
Le « Langage des Oiseaux » comprend 4 647 vers. C'est une épopée mystique ou 30 000 oiseaux sont à la recherche de leur Roi.
Le récit commence par un discours de bienvenue qui constitue une fonction rituelle et magique associant la « Huppe », un oiseau, (genre
passereau) porteur d'une couronne de plumes ainsi une grande foule d'oiseaux de toute sorte.
Ils représentent une humanité cherchante.
Un cheminement lent et semé d'embuches.
Aussitôt, la foule des oiseaux inquiets se rassemblent et providentiellement la Huppe se présente comme leur messagère.
Elle exhorte les oiseaux à partir pour un voyage difficile qui les conduira à la cour de leur Roi,
un oiseau fabuleux, le Simorg.
Tous les oiseaux comprennent l'intérêt fondamental de cette entreprise ; cependant presque aussitôt plus de dix milles d'entre
eux s'excusent : ils sont pour des raisons diverses contents de leur sort ici-bas.
La Huppe admoneste tout le monde, tranquillise les uns, encourage les autres et commence l'enseignement qui permettra d'entreprendre
le voyage.
Pour cela ils doivent s'engager pour un long voyage dans les sept vallées qui marqueront les degrés initiatiques de leur ascension céleste et spirituelle.
La vague et l’écume …
La vague vient du fond des océans, des courants invisibles,
Elle forge les reliefs, façonne les côtes en une force invincible,
Car son flux connaît les mystères du monde et la vie qui va,
Qui draine en son cœur la pulsation de la terre, qui, en nous, bat.
L’écume est une projection si exubérante, elle croit être unique,
Mais en fait elle reflète toujours la même image du tumulte,
Qui se veut un emblème, un symbole du trouble, d’une culbute
Soudaine, qui en fait est le fruit d’une houle de fond si antique.
La vague est la cause et l’écume son effet, que l’on voit en surface,
Alors que l’essentiel se trouve sans détour là où se cache l’espace,
Là où l’humain ne peut être invité, car il n’est point conçu
Pour vivre en deçà, si loin de la Lumière, et si prêt qu’il ne sut.
Les sources de la vague lui sont peu coutumières, qu’il y est étranger,
Car son quotidien est un flot continu d’informations contraires,
Celles qui croient expliquer les affres des hommes de la terre,
Si prompts à blâmer ce qui les interpellent, si avares à échanger…
La vague vient d’une énergie, combinant d’autres vagues en fureur,
L’écume est narcissique, aimant se faire voir, pour briller en vainqueur,
Alors que les humains y voient un spectacle soudain, en fait elle surgit,
Comme une machine innée de la nature, pour naître de la vague en vit.
Notre époque vibre avec l’écume, ignorant les lois générant les vagues,
Car il est plus facile de préférer l’écume qui se brise sur les écrans
Des vies éphémères et mortelles, qui croient vivre ainsi en enfants,
Apeurés et vides de tout sens, ballottés par le vent de Camargue…
Les vagues qui se forment connaissent les obstacles les forçant
A combattre, ceux qui viennent de l’abime et les autres des vents,
Qui donnent à leurs aspects un bruit tonitruant, une voie vers l’avant,
Une puissance folle que l’homme ne connaît sans être consentant.
Nos élites de passage pensant nous gouverner préfèrent l’écume
Apparente aux vagues des abysses, mues par les montagnes,
Englouties depuis l’aube des temps, et qui révèlent le volume
Des vies qui habitent les mondes, et jamais nous épargnent…
Les destins et les tracés humains sont l’émergence de flots indomptés
Si profonds, que chercher dans l’écume les causes les plus veules,
Serait si dérisoire, autant que de vouloir nier parmi les peuples
Leurs droits à exister pour ce qu’ils sont, et non parce qu’ils sont nés.
Ne pas comprendre les vagues condamne les âmes sous l’enclume
A subir les reflux de l’histoire, qui s’appuient sur les causes premières,
Et non sur les doctrines savamment rédigées pour nier l’entière
Responsabilité de ceux qui voient le doigt quand on montre la lune…
Les vagues sont à chercher comme une cause première qui se cache,
Pour mieux se révéler à celui qui les trouvent, car en toute circonstance,
Seuls les quêteurs décryptent les évènements, comme ils nous fâchent
Tels que les Hommes les voient, tels qu’ils surgissent à leur inconstance…
La vague se mérite, l’écume est une mousse qui voile le réel,
Mais les hommes sont faibles et gardent facilité plutôt que s’éveiller
A ce qui les menacent, l’illusion de l’image, alors que sonne l’Appel
Celui qui vient du Cœur, de l’Esprit qui veille à alerter et à émerveiller.
Frère Daniel - eques miles qui vigilas ...


Devenir Chevalier
au XXIème siècle.
L'intégration à un Ordre s'opère souvent par parrainage, néanmoins l'esprit chevaleresque étant ouvert
au monde extérieur, toute personne peut spontanément postuler.
Les statuts permettent aux femmes, qui sont reçues au même titre et dans les mêmes conditions que
les hommes, de devenir Templiers.
Il vous faudra cependant franchir certaines étapes pour nous rejoindre, car le postulant doit être armé moralement et avoir l'envie de se perfectionner sans cesse.
Ceci demande une grande motivation et un travail sur soi-même qui peut
durer plusieurs années.
Novice
Un Templier, doit être curieux et avoir envie d'apprendre. Dans un premier temps, vous serez invité
à un Chapitre de la Commanderie
afin de faire connaissance.
Puis, après avoir rencontré
le Commandeur , vous aurez
une entrevue avec un ou plusieurs Chevaliers de la Commanderie.
Le but de ces échanges est de nous assurer que notre Ordre correspond bien à vos aspirations.
Il est inutile de vous rappeler que le postulant doit être irréprochable vis à vis de la société et donc , avoir un casier judiciaire vierge , c'est le seul obstacle que l'Ordre érige et ce pour conserver son intégrité .
Apres étude rapide et si ,notre
décision est positive , et , si votre désir est toujours vivace, vous serez accueilli comme Sergent – Novice et revêtu de la Robe de Bure, au cours d'une cérémonie rituelle de réception.
Ecuyer
Après environ une année durant laquelle vous assisterez à des réunions « d'éveil », ainsi qu'à
nos réunions de Chapitres,
vous pourrez être élevé au grade
d'Écuyer et porter la Chlamyde blanche.
Chevalier
Après une seconde année durant laquelle vous continuerez à assisterez à des réunions « d'essor », ainsi qu'à nos réunions de Chapitres,
vous pourrez être armés et adoubés Chevalier Templier et porter alors la cape blanche.
Le temps prévu dans chacun
des degrés n'est pas figé.
En effet, le temps est qualitatif, en fonction des besoins et réalisations de chacun.
C'est en ce sens que les travaux et études ont pour but de permettre à chaque Frère et Sœur d'accéder
à une meilleure prise de conscience du monde qui les entoure et d'eux même.
Notre Ordre n'est pas une secte ni un parti politique , il s'évertue à poursuivre le travail accompli par les pauvres chevaliers du Christ .